QUOI DE NEUF A LA MALAKYTE ?
Seulement un ou deux jours de pluie et de grisaille contre beaucoup de bleu ET DU MISTRAL +++! Une semaine bien remplie et des projets plein la tête ... Deux posts en gestation dont l'un me tient particulièrement à coeur (mais il est ... ardu !). Bref, de quoi bien occuper une honnête femme ... lol !
Lundi je recevais mon amie d'enfance ...
Mardi je bidouillais ...
Mon Homme m'a apporté tout plein d'agrumes BIO. Je vais donc confectionner un Limoncello mais avec des pomelos et clémentines ......
LIMONCELLO
Ingrédients
1 litre d’alcool à 90 °
700 g de sucre
1 litre d’eau
Préparation
Eplucher les citrons avec un économe et récupérer les zestes. Il est important d’avoir les zestes sans la partie blanche de l’épluchure de manière à éviter que votre limoncello ne soit trop amère.
Placer les zestes dans un bocal hermétique avec l’alcool
Laisser reposer dans un endroit à l’abri de la lumière pendant 30 jours en prenant soin de remuer tout les jours le mélange.
Au bout d’une semaine, préparer un sirop de sucre avec le litre d’eau et le sucre : faire bouillir l’eau et y ajouter le sucre et attendre que tout le sucre soit dilué dans l’eau.
Filtrer l’alcool pour retirer tous les morceaux de zestes et ajouter le sirop de sucre.
Laisser reposer 1 mois avant dégustation
Servir le limoncello bien frais à l’apéritif mais en petite dose.
Suggestions
Si vous disposez d’eau de vie à 45 °, il vous suffit d’en employer 2 litres et de vous passer d’eau. Vous pouvez employer de la vodka comme alcool de base et vous obtiendrez une délicieuse vodka aromatisée au citron.
Comme beaucoup de liqueur de fruit, le limoncello est une base qui vous servira dans de nombreux desserts. Je pense entre autre à des tiramisu modifiés ou encore à des sabayons au limoncello.
http://www.epicurien.be/blog/recettes/boissons-liqueurs/limoncello-liqueurs-citron.asp
Quant à ces physalis, ils étaient si bon marché que j'en ai achetés pour le plaisir de garder la coque de feuilles qui entoure le fruit ...
Physalis est un genre de plantes de la famille des Solanaceae, sans doute originaires des Amériques où elles portent le nom maracaibo d'Uchula ou mexicain de tomatillo, mais le nom d'une de ses variétés, alkékenge, date du XVIe siècle et dérive de l'arabe al-kâkanj (lui-même un emprunt au persan, comme tous les termes en -anj ; dénomination populaire : karazu l-quds, "cerise de Jérusalem").
Ce sont des plantes annuelles ou vivaces, parfois un peu ligneuses à la base. Les feuilles sont entières ou dentées-sinuées et les fleurs, généralement solitaires, poussent dans les aisselles des feuilles. La corolle entourée d'un calice orange vif semblable à une lanterne est utilisée en art floral.
Ses fruits (baies enveloppées d'un calice) sont généralement toxiques, mais chez certaines variétés, une fois arrivés à maturité, sont comestibles, même exquis et hautement décoratifs. On les appelle communément cerises de terre et, au Québec, coquerets, groseilles du Cap ou encore amours en cage, dans les autres pays francophones. WIKIPEDIA.
Et pour le fun ...
Les boules de graisses pour les oiseaux ont reçu des visiteurs ... Celui-ci n'a même pas vu que je le photographiais ... tant il se régalait !
Une nouvelle aquarelle mais celle-là sera pour nous.
PROGRESSION ..... "silencieuse" ...!!!
Il y a même un mieux entre celle du haut et celle du bas !
Hier lundi
Je suis très heureuse d'y arriver car cela me donne envie de continuer !
Mercredi, nous allions - mon amie Christine et moi - suivre le fil de l'eau (aucun rapport avec mon bouquin d'aquarelle co-dessous mais les titres des chapitres ont quand même fait "tilt" ...!) à La Valette puis visiter le domaine de Baudouvin (post en cours) :
Jeudi, en allant
chercher mon livre "AQUARELLE - A LA LUMIERE DE L'EAU" (il est magique !) ...
... j'ai craqué pour ces feuilles de Décopatch ... Ne me demandez pas sur quel support je vais les utiliser, je ne saurais vous répondre !
Le rendu couleur du scan n'est pas exact ...
1. Décopatch
est le seul papier qui donne un rendu lissé et un aspect peinture.
Il ne se déchire pas quand on le colle, les couleurs ne déteignent
pas et il est très facile à appliquer grâce à sa finesse et sa
résistance.
Le décopatch s'applique sur tous les supports
rigides (polystyrène, bois, métal, carton, plastique, formica,
verre, poterie, carrelage...), semi-rigides (toile, tissus tendus...)
et ce, sur toutes surfaces et objets de formes complexes ou
irrégulières.
Vous pouvez même reproduire des effets crantés,
de couleurs, de motifs, de mosaïque, de patchwork, de
surimpression...
La finesse et la résistance du papier
décopatch assimilées au vernis-colle paperpatch sont à la base de
la réussite de ce procédé créatif.
2. Matériel nécessaire
Pour vos créations
en décopatch, vous avez besoin :
- de papier
décopatch (plus de 200 modèles différents)
- du vernis
colle Paperpatch colle est spécialement étudiée pour les
besoins du papier décopatch. Il colle et vernit ce dernier sans le
flétrir ni l'altérer et rend les couleurs plus éclatantes. Une
fois sec, le vernis
colle Paperpatch crée un film transparent, satiné, non poisseux
et résistant à l'eau. A base d'eau, il est sans danger pour les
enfants.
- d'un pinceau
pure soie décopatch (plusieurs tailles de brosse sont
disponibles)
- du vernis
vitrificateur Aquapro (facultatif). C'est un fixateur protecteur,
idéal pour assurer la pérennité des objets décorés. Ce
vernis-vitrificateur professionnel est en phase acqueuse, sans odeur,
respecte l'environnement et une fois sec, peut être mis au contact
d'aliments.
- d'un verre d'eau pour nettoyer le pinceau
-
d'une paire de ciseau (facultatif) pour découper le décopatch
3. la découpe du décopatch
Découper ou déchirer le papier décopatch en morceaux à la main.
4. l'application du vernis colle
Appliquer le vernis colle Paperpatch sur une partie du support à recouvrir.
5. l'application du décopatch
Poser un morceau de papier décopatch sur la partie encollée.
6. le lissage avec le vernis colle
Réappliquer le
vernis colle Paperpatch en le lissant du centre vers la périphérie.
Eviter de laisser un surplus de colle.
Le vernis-colle
paperpatch sèche rapidement et crée un vernis définitif pour les
objets décoratifs.
7. l'application sur tout le support à décorer
Renoulever
l'opération afin de recouvrir entièrement votre support, en faisant
se chevaucher les morceaux les uns sur les autres.
Si nécessaire,
réencoller (dessous et dessus) les joints mal raccordés.
8. l'application du vernis protecteur
Pour les objets à
usage courant, appliquer 2 couches de vernis vitrificateur Aquapro
espacées d'une heure.
Pour les surfaces à usage intensif au
contact de produits ménagers, nous vous conseillons 3 couches.
http://www.creavea.com/decopatch_techniques-pour-debutant-en-decopatch_fiches-conseils_14-0.html
Vendredi, un peu de cuisine et un film ...
Ne faites pas "BEURK" comme mon Homme, c'est délicieux la langue de boeuf sauce aux câpres ! Pour la recette c'est ICI ...
Océans stylisé Ωcéans est un documentaire français sur la mer et les grands mammifères marins réalisé par Jacques Perrin et Jacques Cluzaud dont le tournage a commencé en 2004 et produit en 2009.
Fiche technique
Réalisation : Jacques Perrin, Jacques Cluzaud
Producteur : Jacques Perrin, Christophe Barratier
Scénario : Christophe Cheysson, Jacques Cluzaud, John Collee, Laurent Debas, Stéphane Durand, Laurent Gaudé, Jacques Perrin, François Sarano
Budget : 49 000 000 euros
Distributeur : Disneynature (États-Unis)
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Océans : 4 ans de tournage sur plus de 50 lieux des mers du globe. Les techniques les plus modernes ont été utilisées pour ce film dont la plus grande partie a été tournée en HD... Une torpille équipée dune caméra, trainée par une fibre optique et pouvant atteindre 5 nœuds a été utilisée pour suivre les animaux marins... Pour les prises de vues nocturnes, les techniques d’éclairage conventionnelles ont été modifiées. Oubliés les projecteurs et les flashs trop agressifs, un nouveau procédé imitant le clair de lune a été mis au point... Tous ces outils ont été conçus au fur et à mesure des besoins du film, jusqu’à l’utilisation d’un hélicoptère miniature pour les prises de vue en surface... Un film époustouflant, aux images impressionnantes présentant les animaux marins filmés au quotidien comme aucun cinéaste ne l’avait fait auparavant. A découvrir le 27 janvier prochain au cinéma.
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Photos PATHÉ DISTRIBUTION
Jacques
Perrin :
"Progressivement, l’homme s’est aventuré sur la mer. Ses
découvertes furent autant de conquêtes. Naviguant au-dessus d’un
monde mystérieux, il n’en soupçonnait pas l’infinie richesse et
diversité. Si les secrets océaniques ont fasciné les explorateurs,
ils ont aussi fait naître les convoitises. On n’a jamais tant
découvert, on n’a jamais tant agressé. Et pourtant, la mer est
encore un immense territoire sauvage. Les portes océanes offrent
toujours des espaces de liberté illimités. La mer, les bateaux, les
poissons, c’est ce que dessinent les enfants. L’histoire
naturelle des espèces cachées dans la mer est un merveilleux conte
du vivant… OCEANS n’est pas un documentaire mais un opéra
sauvage. Chaque plongeur cameraman, chaque opérateur a apporté des
fragments de la partition : celle d’un hymne à la mer".
Photos PATHÉ DISTRIBUTION
Jacques Cluzaud : “L’Océan ! C’est quoi l’Océan ?” demande un enfant au début du film. Pour lui répondre, commençons par oublier chiffres, explications et analyses.
Pour tenter de raconter l’histoire des océans, nous avons cherché à ouvrir d’autres portes que celles des statistiques : celles d’un conte fantastique et magique, des merveilles du petit monde du récif corallien, de l’héroïsme des dauphins en pleine charge, des danses gracieuses des baleines à bosse et des seiches géantes, de l’horreur des agressions faites aux océans et à leurs créatures, de l’incroyable spectacle de la mer déchaînée dans une tempête titanesque, du silence d’un muséum des espèces disparues…
Le film n’allait pas chercher à expliquer des comportements, ne donnerait pas
d’informations sur les espèces, ne chercherait pas à enseigner… mais à faire ressentir. 50 ans après LE MONDE DU SILENCE du Commandant Cousteau, des centaines de cinéastes, de toutes nationalités, ont réalisé d’incroyables documentaires sur la plupart des espèces marines. Dans quelle direction aller pour trouver du “nouveau” ? Une seule réponse : dans toutes les directions possibles.
Le mouvement bien sûr, comme pour LE PEUPLE MIGRATEUR en accompagnant les espèces marines dans la dynamique de leurs déplacements. Mais aussi la recherche d’une nouvelle façon d’éclairer dans l’obscurité ou dans la nuit des océans. Et avant tout, l’indispensable contact avec l’animal filmé jusqu’à obtenir les plans qui transformeront le sujet en personnage.
Photos PATHÉ DISTRIBUTION
Une chose rare et très particulière avec Jacques Perrin est que rien ne s’élabore avec une quelconque notion de limite, à commencer par celle du temps. En tournage, le temps est notre allié le plus précieux : il est indispensable pour filmer les images qui permettront de monter une séquence aussi riche et dynamique qu’on le ferait dans le cadre d’une fiction alors que la nature n’est ni contrôlable ni tout à fait prévisible. Le temps nous permet de recommencer encore et encore, quelle que soit la difficulté de l’entreprise. Réaliser un film comme OCEANS implique une recherche permanente et je crois que c’est cette envie de chercher dans des directions nouvelles qui caractérise le mieux tous ceux qui ont accompagné le film jusqu’au bout. Car que demande finalement Jacques Perrin à ceux qui ont la chance de travailler avec lui si ce n’est d’aller au bout de leurs rêves, puisque le sien est infini…
Photos PATHÉ DISTRIBUTION
Comme pour LE PEUPLE MIGRATEUR, deux familles de cinéastes se sont réunies ; des spécialistes du monde animalier aux cotés d’autres issus de la fiction pour qu’OCEANS , au-delà du documentaire, devienne tout simplement un film de cinéma. Quatre années de tournage nous ont menés en des lieux bien particuliers de notre planète que l’on pourrait classer en deux grandes catégories : ceux où la vie semble s’exprimer telle qu’elle le fit pendant des milliers, voire des millions d’années et ceux où manifestement l’ordre de la nature a sérieusement changé. La mer d’abondance que nous cherchions n’existe plus dans les endroits mis à mal par les activités des hommes : surpêche, pollution, côtes bétonnées… Comme une poignée de confettis jetés sur la planète, il reste ça et là des sanctuaires ; des espaces protégés où la vie s’exprime, ou bien renaît, avec ténacité et vigueur. Aux îles Cocos, au large du Costa Rica, il suffit de mettre la tête sous l’eau pour voir s’affairer poissons de toutes espèces, requins en tous genres, raies de toutes tailles et autres tortues et mammifères marins. Au nord de l’Arctique, sur la petite île de Coburg, où même nos guides Inuits n’avaient jamais posé les pieds, phoques, morses et ours polaires sont encore seuls chez eux. À l’extrême ouest des Galápagos, sur la pointe de l’île Fernandina qui ne voit guère plus d’un scientifique tous les vingt ans, les aigles, au milieu des iguanes marins, des otaries et des cormorans, sont venus se poser sans crainte à quelques mètres de nous, pour observer ces curieux bipèdes que nous sommes. C’est principalement sur ces petits endroits du monde qu’ont été tournées les images du film … avec l’espoir qu’il ne s’agisse pas là du reflet d’une diversité révolue mais d’une vie tenace, toujours renaissante, sauvage et libre.
Photos PATHÉ DISTRIBUTION
MON RESSENTI :
Oui, de bien belles images mais ... nous en avions déjà vu beaucoup du même genre à la télévision. Des effets de bruitages marins assez impressionnants certes, une mer déchaînée comme jamais vu à l'écran certes mais un film-documentaire trop moralisateur pour se détendre. Des scènes sanglantes insupportables qui ont duré au moins cinq minutes ... Bref, nous avons été un peu déçus car le sang n'était pas nécessaire ! Montrer la beauté des êtres vivants suffisait Messieurs Perrin et Cluzaud !
Samedi, je me suis déguisée en cow-girl et nous avons festoyé jusqu'à 2 heures du matin ...
A hyères ...
Répétion mais CHUT ..., nos Hommes ne savent pas le spectacle que nous préparons pour la soirée de samedi !
Invités chez des amis à dîner, j'ai découvert le jeu CRANIUM. Vraiment sympa et de belles parties de fou rire !
Cranium
est un jeu multi-activités pour le grand public. Des épreuves
diverses pour faire appel à votre créativité, votre bon sens, un
peu de connaissance et bien sûr un parcours et un dé !
Quel
que soit le nombre de participants, il faut former des équipes.
Cranium est un jeu d’équipe où chacun pourra faire preuve de son
talent au gré de son désir ou de celui de son équipe.
Chaque
équipe, à son tour, lance un dé à 10 faces qui indique une
couleur. On amène son pion sur la prochaine case de la couleur
indiquée et l’équipe adverse lit l’épreuve correspondant à la
couleur.
Vous pourrez ainsi tomber sur :
Chat d’œuvre :
des épreuves plutôt artistiques à base de dessin ou de modelage.
Étoile montante : Chansons et mimes en relations avec la musique
et les chanteurs.
Vocabu ver : anagrammes, définitions, épeler
des mots à l’envers.
Neuro naute : questions et connaissances
générales.
Tout le matériel est fourni dans une boite bien
rempli : crayons, bloc-notes, coffrets à fiches, plateau, dé
spécial, règles et pâte à modeler et sablier.
Le parcours
offre quelques particularité, ainsi quand vous arrivez sur une «
planète Cranium », vous pouvez choisir le type d’épreuve de
votre choix et si votre équipe là réussit du premier coup, vous
pourrez emprunter un parcours « touristique » plus court.
Une
fois au bout du parcours, vous entrez dans le cercle Cranium. Là,
vous devrez réussir une épreuve de chaque sorte, puis une cinquième
choisie par une équipe adverse.
La première équipe a réussir
cette dernière épreuve remporte la partie.
http://www.trictrac.net/index.php3?id=jeux&inf=detail&jeu=991&rub=detail
Dimanche, une bien belle balade au bord du lac du Revest (encore un post en cours ...!) :
Lundi ...
... les premiers crocus à la Malakyte.
JE VOUS SOUHAITE UNE DOUCE SEMAINE !