BALADE SUR LE MASSIF DE LA COLLE NOIRE - LE PRADET
Gulli "voyage" dans le temps (wagon de la mine du Cap Garonne) !
Nous ne verrons pas le couchant car l'astre de lumière est encore bien haut dans le ciel !
Gulli est calme et observe tout autour de lui = c'est la première fois qu'il fait cette promenade !
Le mont Coudon dans la brume
Vue sur la presqu'île de Saint-Mandrier ...
... la grande rade et les voiliers (photos filtrées grâce à mes lunettes de soleil ...)
Les arbres morts après l'incendie du 4 août 2005
... mais la nature a repris le dessus !
Nous sommes à la pointe
... et prenons "le courbe"
Regard en arrière sur le Coudon entre deux troncs ...
... et sur la pointe de la Colle Noire
Les rochers de la plage du Bau Rouge et le début de la route du sel (Almanarre)
La plage de rochers du Bau Rouge ...
... En cherchant comment accéder à cette plage naturiste, j'ai eu le bonheur de trouver CE SITE photographique magnifique +++ Cela m'a donné envie d'y descendre au lever du soleil (quoiqu'il m'en coûte ...!) pour m'essayer - à mon tour - à quelques belles prises ...
Pins penchés par le Mistral
Le fort de la Gavaresse - Le Pradet
Construit en 1878-1880, ce fort culmine à 295 mètres d’altitude. Il est cerné d'un fossé défendu par 3 caponnières doubles et 2 simples. Il complétait la protection de l'Est de la place avec le Coudon (grande ceinture de Toulon ). Un plan du fort indique qu’environ la moitié de son emprise était constituée de roc en place. Seul son quart nord-ouest a été creusé de façon à implanter les cinq travées de son casernement et, perpendiculairement, une série de magasins, le tout donnant sur une cour où débouchait l’entrée. Un fossé cernait la totalité du périmètre. Au centre du front, le magasin à poudre est isolé du reste du fort par de solides épaisseurs de roc en place. Les dessus du fort étaient aménagés en positions d’artillerie, avec trois traverses creuses, et d’infanterie. La position d’artillerie était donc plus haute que le casernement, mais aussi plus en avant sur la partie rocheuse. L’ensemble de l’escarpe est attachée, sauf la gauche du front de gorge où elle était détachée. Un dépôt de munitions explosa le en août 1946 puis, après y avoir à nouveau entassé des munitions, une seconde catastrophe eut lieu en août 1949. Manifestement, l’épicentre de cette seconde explosion se situa devant ou dans le casernement lequel fut totalement anéanti de même que la première ligne des travées des magasins. Très puissante, l’explosion détruisit une bonne partie de l’édifice ; certaines salles du fort n’ont pas été touchées mais un effondrement en barre l’accès. Sur les dessus, subsistent encore deux traverses-abris ainsi que, partiellement, une troisième.
Le fort est clôturé et interdit d’accès afin d’éviter le risque d’accident. Massif pouvant être fermé pour risques d’incendie.
http://www.lepradet-tourisme.fr/fr/nature.aspx
Zoom sur les champs de Cannes de Provence ou Roseau à quenouilles (Arundo donax).
BON DIMANCHE !