AH, CANTAL..., CE QUE TU M'AS PLU !
Je tiens avant toute chose à remercier mon amie Patricia car grâce à sa charmante invitation et à sa connaissance des lieux, j'ai pu voir des choses magnifiques non stop durant ces six jours passés dans le Cantal et les départements limitrophes !
J'ai été émerveillée par toute cette verdure, ces belles pierres, ces belles vaches, ces arbres de feu automnés, la gentillesse des gens du pays et par bien d'autres choses encore.
Ce fut un merveilleux cadeau d'anniversaire +++++
Et à ce propos ..................... =
COMPTEZ LES BOUJIES ET VOUS SAUREZ MON ÂGE depuis hier !
Bon, ceci dit, attaquons le PREMIER CHAPITRE de ces fameuses vacances !!!
A L'ALLER ... sur notre route =
Pat, a insisté pour que j'emmène Gulli ! Sachant qu'il geint en voiture, je craignais le pire. Je lui ai donc donné - contre mauvaise fortune bon coeur - des comprimés pour le calmer et les nombreuses heures de voiture en sa compagnie ont été agréables, autant pour nous que pour lui qui était installé à l'arrière dans son "lit" douillet !
L'église orthodoxe Saint-Irénée à Marseille
Escale pique-nique au Caylar ... fort bien choisie par Pat car vue magnifique ...
... et nous (elle) avions bien roulé !
Le village du Caylar vu de notre banc "gourmand" ...
Un site habité dès le néolithique... aujourd’hui, un village qui entre d’un pas décidé dans le XXIe siècle.. Dès l’âge de la pierre, l’Homme s’est réfugié dans le site défensif du Roc Castel, pourvu d’une source et d’abris sous roches. Romains et Wisigoths, seigneurs et évêques s’y sont succédé, fortifiant le sommet. Après les guerres de religion, Richelieu fit raser le château. Avec la paix revenue, le village qui s’abritait à ses pieds s’installe le long de la voie royale n° 9, importante artère de communication, qui compte de nombreux relais et affenages.
Pat avait même pensé au nonos du toutou .....!
Une petite balade digestive s'imposait dans ce beau village où trône un bel arbre sculpté sur la grand place ...
Sur la place du village trône majestueusement le célèbre arbre sculpté réalisé par Michel Chevray. Comme dans la plupart des villages des Hauts-Cantons, la place centrale était ornée d’un orme champêtre. Avec le temps, l’arbre, plus que centenaire s’est dégradé, atteint de graphiose. Triste et laid, il allait finir sa vie, arraché… La municipalité en a décidé autrement, en 1987, elle fit appel à l’artiste. Après plus de 2 000 heures de travail, l’arbre sculpté retrouvait un second souffle. Sur son tronc et au-delà, une dizaine d’animaux et plantes typiques du Larzac sont représentés.
Avant de détailler l'oeuvre, je voulais vous montrer où se posent les pigeons et autres volatiles ... (voir en haut à gauche de la mosaïque ci-dessus) ...
Un Christ à lunettes de soleil et ne cachant pas sa nudité ...
... avec à ses pieds un aigle et sa proie : un gros rat ... mais je vous laisse découvrir la suite. Regardez bien car il y a des choses cachées ... lol !
Chaque replis ou boursouflures de l'arbre ont été utilisés à bon escient !
La tour du beffroi
Gardienne du village disposé en étage sur le flanc sud-ouest du Roc Castel, elle est la seule survivante des trois tours de l’enceinte médiévale.Porte principale et centrale, bâtie au XVe siècle, elle est surmontée d’un beffroi agrémenté aujourd’hui d’une horloge, elle accueille l’office du tourisme. Elle fut restaurée en 1730. Mais, qui a osé, sous son porche, ce percement béton agrémenté d’une orange persienne. A noter les arcs boutants enjambant la rue à l’arrière de l’édifice, vers la gauche.
http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=34064_5
Sur un muret, ce serpent en bois sculpté (certainement par le même artiste que celui de l'arbre ?) avec sur les côtés des visages en relief qui pourraient faire penser à des hommes "digérés" par la bêêêêteeee ?!!!!!
Nous sommes allés plus avant dans le village, les yeux au ciel et l'APN "en joue" !
Gulli adore les chats mais ils ne le lui rendent pas ...
La rue Notre-Dame, à l'origine entièrement "caladée" (pavée, de l'occitan calada : pavé) n'est qu'un escalier bordé de maisons aujourd'hui en ruines ou en cours de réhabilitation, qui relie le bas du village à la chapelle Notre-Dame. En grimpant la rue Notre-Dame, on arrive aux vestiges du château du Caylar, accrochés à la pente. Le principal reste est cette belle arche en plein cintre. Derrière, noyées dans le lierre, se dressent les ruines d'un important corps de bâtiment du XVe ou XVIe siècle. Les fenêtres à meneaux de la maison voisine (à droite de l'arche) indiquent que cette dernière date également de la même époque.
http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=34064_5
Tout là haut, les ruines et la tour ronde
Gardienne du village disposé en étage sur le flanc sud-ouest du Roc Castel, elle est la seule survivante des trois tours de l’enceinte médiévale.Porte principale et centrale, bâtie au XVe siècle, elle est surmontée d’un beffroi agrémenté aujourd’hui d’une horloge, elle accueille l’office du tourisme. Elle fut restaurée en 1730. Mais, qui a osé, sous son porche, ce percement béton agrémenté d’une orange persienne. A noter les arcs boutants enjambant la rue à l’arrière de l’édifice, vers la gauche.
http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=34064_5
Un dernier regard sur la courbure de ce toit de tuile et nous reprenons la route ...
... un viaduc de Millau sous un angle inhabituel car pris à contre-sens en raison des travaux !
QUELQUES CLICHES "à la volée" =
... paysages somptueux
... viaduc de Garabit
Saint-Flour (Cantal) ... Encore au moins 89 km à rouler mais deux heures de route ...
Photo trouvée ICI.
La Planèze de Saint-Flour est un plateau volcanique français faisant partie des Monts du Cantal. C’est un Pays traditionnel d’Auvergne.
À l’origine, le nom de « planèze » désigne précisément cette région des monts du Cantal. Le terme a été ensuite repris par les géographes pour désigner les plateaux basaltiques issus des éruptions volcaniques. WIKIPEDIA.
Les orgues basaltiques de Saint-Flour
Les orgues basaltiques de Saint-Flour sont des remparts naturels qui se sont formés par deux coulées de laves successives (refroidissement rapide pour la partie supérieure, lent pour l'autre avec formation d'orgues). Ils divisent ainsi la ville entre une partie basse, et une partie haute, perchée au sommet des remparts. Ces derniers ont permis d'assurer à Saint-Flour une bonne position défensive. Longtemps, les tailleurs de pierres de la ville s'y sont réfugiés afin d'exploiter la roche volcanique.
Encore quelques belles images =
l'automne dans toute sa splendeur ...
... puys, vallons et petits hameaux ...
... cette merveille à Murat ...
Le rocher de Bonnevie et ses orgues basaltiques (les plus fines d'Europe) domine de 140 mètres la ville. Il y a été édifié une statue en fonte de la Sainte Vierge Notre-Dame de la Haute-Auvergne de 14 mètres de haut, à l'emplacement de l'ancien château des vicomtes de Murat, détruit sur ordre de Richelieu.
... ce troupeau de vaches (pas du Cantal !) au milieu de la route ... cool !
... et enfin, arrivées à bon port, un apéro fort sympa sur le balcon tant il faisait doux ce soir là !
LES REJOUISSANCES A VENIR =
Deux expositions ...
... ET UNE SOIREE D'ANNIVERSAIRE avec déguisements années sixties et seventies ...
... de quoi s'éclater vraiment rien qu'en cherchant les trucs et les machins pour y aller parés !!!
MERCI +++ A TOUS ET TOUTES POUR VOS BONS SOUHAITS D'ANNIVERSAIRE !