NICE = LA MONTEE AU CHÂTEAU
Un peu "déconfits" après notre échec à la cathédrale orthodoxe en travaux ..., nous avons vite rebondi et trouvé une place au parking du cours Saleya, à deux pas de l'ascenseur qui nous emmène à 90 mètres au sommet de la tour Bellanda.
La tour Bellanda
Pour ceux et celles que cela intéresse, la montée par l'ascenseur est GRATUITE !
Nice et sa citadelle en 1691
Comme à Paris mais la grille est moins encombrée et pas prête à s'écrouler ...!
Du premier belvédère, la vue est déjà époustouflante +++
Au zoom, un avion décolle !
Encore plus haut, en me penchant au-dessus de la cascade, des mouettes prennent des bains de pieds tant il fait chaud (les veinardes !)
A l'Est, le fort du Mont Alban à 220 mètres d’altitude
Plus nous montons, plus la ville se dévoile, c'est un vrai bonheur !
Le cours Saleya
La plage et le cours Saleya vu autrement
Nous n'avions pas nos maillots et je le regrette encore +++
A gauche et au centre, la cathédrale Sainte-Réparate et son dôme. A droite, l'église du Gésu.
Zoom sur le dôme de Sainte-Réparate
... de son entrée et de son clocher.
Zoom sur les églises de Sainte-Rita ...
... et du Gésu
Lycée Masséna
Place Masséna
Eglise Sainte-Rita à gauche et en rose à droite, la Tour Rusca
Au détour d'une allée, quelques marches nous amènent à un balcon avec vue imprenable sur le port de Nice
Au loin, sur la pointe rocheuse du Mont Boron, le château de l'anglais
Un zoom et le voilà tout pimpant ... Un vrai château de conte de fée !
Le Château de l'Anglais est un édifice qui marque l’apparition de châteaux de styles exotiques construit à Nice de 1856 à 1858 XIXe siècle. De par sa couleur et sa forme, il demeure comme l’un des témoignages forts des folies qui sont érigées sur la Riviera.
Sa construction débute en 1856, date de l'achat d'un terrain de 22 000 m2, par Robert Smith (1787-1873), colonel du génie anglais en Inde. Il est construit en trois ans et son architecture éclectique s'inspire des constructions néo-mogholes.
Le château suscite rapidement de nombreux commentaires souvent contradictoires : En 1861, Émile Négrin évoque « un quelque chose, cauchemar des architectes classiques », en 1877, Mayrargue parle « d’une admirable villa où tout ce que l’imagination peut rêver de plus extraordinaire y a été assemblé avec un art exquis » et Stephen Liegeard le juge comme « une bâtisse qui n’est ni un château, ni un palais, ni une tour, ni un bastion, ni une villa, ni une pièce montée, ni un gâteau de Savoie, ni rien qui ait un nom dans aucune langue ».
À partir de 1875, la propriété est achetée par la famille polonaise Gurowsky de Wezele au fils du bâtisseur, puis elle est revendue à différentes sociétés immobilières qui la morcelle en plusieurs lotissements. Après la Seconde Guerre mondiale, le château est transformé en copropriété. Le jardin botanique est classé Monument historique.
Le château (avec la rotonde de l’ancienne salle de musique) fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 20 juin 2000. WIKIPEDIA.
Dans le port, le Corsica fait son entrée à reculons. Une sacrée manoeuvre !
Juste en redescendant les marches, ce décor au sol où est écrit : "Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage" !
Mais nous ne les avons malheureusement pas tous vu ! Je me suis permis de faire cette mosaïque avec des photos trouvées ICI = http://miechambo.canalblog.com/archives/2014/04/23/29514699.html
ATTENTION A L'ARBRE PENCHé !
Ce préau (?) ombragé, délicieusement décoré de poissons recouverts de céramique, inspirait le farniente assis dans un transat mais il n'y en avait point ... !
A deux pas, ce mur fleuri d'un bouquet charmant
Au sol, un "tapis" de roses
A la pause déjeuner, ce magnifique pigeon au plumage rare, se régalait du pain que nous lui lancions !
Au retour vers notre ascenseur, rencontre avec une divine et "éclaboussante" cascade, rafraîchante à souhait !
Et là, je me suis régalée ++++++
On aurait dit de la glace sur fond de ciel bleu étoilé .....!!!!!
Encore quelques marches et nous aurons terminé cette magnifique découverte perchée.
FIN