DEPUIS LE TEMPS ... QUELQUES NOUVELLES ...
Nous avons eu le plaisir de recevoir le charmant René à la Malakyte ainsi que la belle Cannelle ...
... qui a découvert le jeu de balle avec Gulli !
Gulli qui a sympathisé avec notre hôte.
De foufous qui couraient en tous sens au jardin !
Merci encore pour ce meveilleux bouquet René !
UN REPAS CHEZ MES COUSINS A FREJUS
Chez eux, un beau palmier ...
... comme posé sur le carrelage !!!
Enfin ..., peut être la solution pour les dégâts causés au plafond de mon bureau ?!
NAISSANCE
Je me suis régalée en achetant quelques cadeaux pour la naissance de mon petit neveux +++ Trop mimi !
Ah lala, l'avoir dans mes bras, quel bonheur ! Mille souvenirs ont resssurgi de mes enfants à cet âge et même plus grands ...
Après notre visite au petit et à ses parents, nous avons rejoint le MUCEM =
La Major dans toute sa splendeur
Le MUCEM
Le bâtiment de la Villa Méditerranée a fait l’objet d’un concours remporté en 2004, par l’architecte Stefano Boeri. Les travaux ont démarré en 2010.
Stefano Boeri a conçu un édifice hors normes qui développe ses espaces sur et sous la mer et se distingue par une spectaculaire avancée en porte-à-fauxde 40 mètres, au-dessus d’un bassin artificiel de 2 000 m2. Véritable prouesse technique, il est, à ce jour, unique en Europe par sa capacité d’accueil du public. Le niveau supérieur, dont le toit culmine à 19 mètres au-dessus du bassin, accueillera un plateau d’exposition de 760 m2, relié par une passerelle à une salle de 150 m2 et entouré d’un belvédère en libre-accès.
Sous le bassin de 2,25 mètres de profondeur, se trouve la base du bâtiment. Dans l’agora située dans ce niveau, un amphithéâtre permet d’accueillir spectacles, conférences et projections de films.
A l’extérieur, la peau de béton, percée d’ouvertures, a été pensée comme un ruban parcourant tout l’édifice, de sa façade arrière à son toit, en passant par la face inférieure du porte-à-faux.
"La première intention était de faire pénétrer un morceau de mer à l’intérieur du bâtiment... C’est l’élément principal d’union qui oriente, anime et organise le projet tout entier."Stefano Boer
http://www.villa-mediterranee.org/fr/la-villa-mediterranee-un-batiment-entre-ciel-et-mer
L'ascenseur de la villa Méditerranée (CeReM)
Quand "La Major" se mire dans les glaces du MUCEM !
Le clocher de l'église Saint-Laurent
... TOUJOURS ....
La tour ronde du fanal (Fort Saint-Jean)
Jeu de perspective avec une autre vue sur La Major
La Bonne Mère en arrière plan
Les quatre têtes géantes
«Le dresseur d'ours» du parvis Saint-Laurent
Les personnes ayant visité une exposition au MUCEM portent un badge autocollant dont ils se débarassent en le collant sur ce poteau ....
POUR VOIR PLUS DE PHOTOS, UN CLIC ICI
DANS MARSEILLE
Le "nouveau" Stade Vélodrome = 67 000 places et un toit futuriste
L'unité d'habitation de Marseille, connue sous le nom de « Cité radieuse » mais que certains Marseillais nomment familièrement « La Maison du fada », est une résidence édifiée entre 1947 et 1952 par Le Corbusier dans le quartier de Sainte-Anne, dans le 8e arrondissement. Bâtie sous forme de barre sur pilotis (en forme de piètements évasés à l'aspect brutaliste) elle tente de concrétiser une nouvelle forme de cité, un « village vertical » appelé « Unité d'habitation ».
La résidence compte 337 appartements de 23 types différents séparés par des « rues intérieures » (l'appartement « type » est en duplex) et d'un hôtel de 21 chambres. En juin 2013 le gymnase sur le toit est reconverti en lieu d'exposition par Ora-ïto4.
Réalisation
Pour la réalisation de cet immeuble de grande hauteur (IGH), Le Corbusier crée l'Atelier des Bâtisseurs (AtBat), qui regroupe des architectes et des ingénieurs, dirigé par l'ingénieur d'origine russe Vladimir Bodiansky. Les architectes André Wogenscky, Georges Candilis et Jacques Masson collaborent au chantier au sein de cette structure.
Le bâtiment fait 137 mètres de long, 56 mètres de haut et 24 mètres de large. L'ensemble est situé au no 280 du boulevard Michelet de Marseille, cette barre est l'une des cinq unités d'habitation construites par Le Corbusier au cours de sa carrière. À la différence des quatre autres, essentiellement composée de logements, elle comprend également au niveau de sa rue centrale des bureaux et divers services commerciaux (pâtisserie, hôtel, restaurant gastronomique, créche, librairie spécialisée, etc.). Le toit-terrasse de l'unité, libre d'accès au public, est occupé par des équipements publics : la cour de récréation de l'école maternelle, un gymnase, une piste d'athlétisme, une petite piscine pour enfants et un auditorium en plein air.
L'innovation que représentait cette construction a notamment eu pour conséquence de la voir affublée du surnom « la maison du fada » par certains habitants de Marseille car ils trouvaient que ce bâtiment n'était pas normal. Aujourd'hui classée Monument historique par arrêté du 12 octobre 1995, la Cité radieuse, immeuble expérimental dès son origine, est de plus en plus visitée par des touristes et ses logements exercent un nouvel attrait auprès d'une population de cadres et de professions intellectuelles.
Un grave incendie a eu lieu à la Cité Radieuse le 9 février 2012. Elle est aujourd'hui en rénovation.
Histoire
Sortie de la Seconde Guerre mondiale, la France a besoin de se reconstruire. À cette époque le manque de logements sociaux est alors un problème auquel il faut apporter rapidement une solution. C’est dans ce contexte que l’État français passe commande à Le Corbusier : la construction d’une unité d'habitation à Marseille. Il lui demande alors de « montrer un nouvel art de bâtir qui transforme le mode d’habitat ». Ainsi, Claudius Petit, du Ministère de la reconstruction, affirme que Le Corbusier « apporte une solution nouvelle à ce problème du logement et transforme l’habitat en un véritable service public » à Marseille.
La Cité radieuse est finalement inaugurée en 1952, après cinq ans de travaux, malgré de nombreuses critiques politiques et architecturales (ce « cube de béton » reste encore aujourd'hui critiqué).
Les protections au titre des monuments historiques ont déjà concrétisé l'intérêt architectural qu'on lui porte :
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La Cité Radieuse de Marseille a été construite en 1952 et inscrite le 26 octobre 1964, du vivant de l'architecte, puis classée en 1986 et 1995
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Les façades ; la terrasse et ses aménagements ; l'ensemble du portique et l'espace qu'il abrite ; à l'intérieur, les parties communes suivantes : le hall d'entrée, les espaces de circulation avec équipements (ascenseurs exceptés) , l'appartement destiné à la visite ont fait l'objet d'un classement par arrêté du 20 juin 1986
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L'appartement n°50, y compris l'ensemble des éléments conçus pour la cuisine, ont été classé par arrêté du 12 octobre 1995
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L'immeuble a par ailleurs bénéficié du Label « Patrimoine du XXe siècle ».
Le Corbusier définit le logis comme le contenant « d'une famille ». Ce contenant peut être inséré non pas dans un immeuble traditionnel mais dans une « ossature portante », conçue comme une structure d'accueil. Le Corbusier va définir une cellule de base. Elle va donner naissance à un ensemble de deux cellules orientées Est/Ouest et imbriquées autour d'une rue intérieure. Il aboutit ainsi à un système d'étage courant qui s'organise sur trois niveaux. Entre les cellules de chaque côté du bâtiment se trouvent de larges couloirs. Ils sont conçus comme un espace de circulation et de rencontre entre les habitants. Au dernier étage, un couloir plus grand encore, le déambulatoire, fait face à la mer.
Comme les autres unités d'habitation de Le Corbusier, la Cité radieuse de Marseille est conçue sur le principe du Modulor, système de mesures lié à la morphologie humaine basé sur le nombre d'or et la suite de Fibonacci13, calculé par le quotient de sa taille (1m83) par la hauteur de son nombril (1m13) qui de 1,619, soit le nombre d'or au millième près. Celui-ci est d'ailleurs illustré par une empreinte sur le béton à la base de l'immeuble ainsi que sur un petit vitrail.
Une reconstitution à l'échelle 1 de l'unité d'habitation est visitable à la Cité de l'architecture et du patrimoine. Cet appartement a été réalisé dans le cadre d'un partenariat avec 16 lycées d'enseignement technique et professionnel d'Île de France.
Les conditions de restauration des façades
La restauration des façades de la « Cité radieuse » a contribué à faire évoluer les connaissances techniques et scientifiques en matière de restauration des ouvrages et immeubles ayant utilisé le béton et le béton armé.
La protection des monuments historiques intéresse en effet des immeubles récents pour lesquels l’utilisation du béton pose des problèmes délicats, tels les désordres auxquels il a fallu remédier lors de la restauration de la « Cité Radieuse » dont on a célébré le cinquantenaire de sa construction en 2002, réalisée par Charles-Édouard Jeanneret, né à La Chaux De Fonds (Suisse) le 6 octobre 1887, et connu sous le pseudonyme de Le Corbusier (1887-1965). Architecte, urbaniste, mais également peintre, sculpteur et écrivain qui avait été l'un des premiers architectes, à construire dans le monde entier…...WIKIPEDIA.
DEUX AUTRES SITES SONT TRES INTERESSANTS A LIRE = UN CLIC ICI ET ICI
Je ne suis pas "fada" de ce genre d'architecture mais je dois avouer que le concept est intéressant et était novateur pour l'époque (il y a 62 ans !). Par contre, les contraintes de son classement comme Monument Historique doivent être gênantes pour les propriétaires (... on ne peut pas toucher au ciment, faire des trous, coller, creuser,... )
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Écrit par lamarseillaise mercredi 10 septembre 2014 13:22
Après deux échecs en 2009 et 2011, le classement de l'oeuvre de l'architecte Le Corbusier au Patrimoine mondial de l'humanité sera une nouvelle fois soumis à l'Unesco en 2016. C'est le maire de Firminy dans la Loire, président de l'Association des sites Le Corbusier, qui l'a annoncé. Le dossier de candidature porte sur "une série transnationale de dix-sept sites, répartis sur sept pays " explique Marc Petit. Dix des dix-sept oeuvres sont situées en France. Parmi elles, figure la Cité Radieuse, l'Unité d'Habitation édifiée entre 1947 et 1952 par Le Corbusier dans le quartier de Sainte-Anne, dans le 8e arrondissement de Marseille. Un bâtiment plus communément appelé la "Maison du fada". Un pré-examen du dossier sera effectué par le Comité du patrimoine mondial de l'Unesco à partir d'octobre, la remise définitive de la candiature étant prévu pour la fin janvier 2015. L'Unesco statuera sur cette candidature en juin 2016... http://www.lamarseillaise.fr/marseille/flash/31235-marseille-la-maison-du-fada-classee-l-unesco
Module de deux appartements « type » sur trois étages (Wikipédia)
Je dois cependant reconnaitre que certaines pièces architecturales de l'ensemble sont très photogéniques ...
... comme par exemple l'escalier menant au Centre Commercial.
Pour rentrer sur Toulon, nous sommes passés par le col de la Gineste et avons pu admirer le Mont Carpiagne qui a eu le temps de se remettre de "ses émotions" ...
LES BONNES RÉSOLUTIONS .... Je commence dès demain ...
YOUPI, DEPART LE 22 12 !
PASSEZ UNE DOUCE NUIT MES AMI(E)S !